À la recherche d’une nouvelle perspective, il se plaça dans le champ d’une vision globale. C’était le moyen d’aller de l’essence à la source. Cette nouvelle approche n’était pas sans difficulté dans sa réalisation car il fallait utiliser un effet miroir. Il s’agissait de voir ce qui était montré. Ce n’était plus un détail mais un ensemble qui formait un tout. Il valorisa sa position assise pour créer cet effet de perspective à la limite de la contre plongée. Une fois le carré choisi, il avait besoin d’une dynamique afin que le modèle puisse se libérer sans contrainte mais toujours dans le cadre. Pour cela il utilisa la verticalité et la gravité. C’était une manière de retenir l’essence pour en avoir une vision globale grâce à un espace confiné mais judicieux. Il commença par un premier plan et vit que la réalisation était possible. Aussi, cette fois, avec aisance il joua le legato avec le ritenuto naturel jusqu’à atteindre le point d’orgue de la vision globale.