Nous travaillons dans le silence de la mort
pendant que le bruit du jour s’étend
de plus en plus sur la mémoire collective.
Dans ce combat que certains estiment perdu,
nous ne nous retranchons pas derrière nos acquis,
nous remettons en cause l’essentiel de notre savoir.
Car c’est seulement ainsi que nous pouvons suivre
ce que le Maître nommait la voix des morts,
la présence des livres oubliés mais codés.