On est dans le Parc de la Tête d’Or, on peut le voir, les oies sont toujours avec nous. C’est sympathique parce que finalement on peut marcher, être sur place, regarder la nature, admirer toute cette vue et puis finalement se rendre compte que c’est quand même un privilège d’être dans un parc qui a été créé par l’homme. C’est une vie tout à fait artificielle au départ mais finalement très humaine. On est dans un endroit qui nous touche parce que c’est une façon de voir la nature totalement différemment; ça a été conçu dès le départ de manière on peut dire artificielle mais finalement on a une beauté naturelle et on se retrouve dans un endroit qui nous touche parce que il a cet aspect humain partout, sur le lac, les animaux qui sont libres et aussi la végétation. Les gens en prennent soin et on voit que ça reste beau malgré les année, ça nous touche parce que c’est la preuve qu’on peut vivre dans un lieu de cette manière au sein même de la société, avoir ce morceau d’Humanité qui continue à vivre quasiment de façon indépendante, de façon diachronique et c’est pour ça que ça nous touche profondément parce que c’est un endroit où on peut montrer finalement ce que c’est de vivre dans l’Humanité.