11653 - Vingt-cinq ans après

N. Lygeros

Vingt-cinq ans après
la libération de l’Artsakh
nous devons rester vigilants
car chacun des nôtres
est une croix précieuse
qui ne doit pas être brisée
comme dans les cimetières
par les actes de barbarie
sans que nous résistions
aussi soyons prêts
à nous battre
à la moindre tentative
de mettre en esclavage
la terre de Papik et Tatik
car c’est aussi la nôtre.