À travers la musique, il était possible d’aimer en profondeur. Et cela aidait les âmes. Seulement il était difficile de l’expliquer mais il était possible de le voir et de le vivre. C’était visible même dans le théâtre mais la musique permettait de toucher encore plus d’âmes. Il n’y avait pas la limite de la scène. Ainsi cette dimension n’était plus un obstacle. Mais il y avait encore plus puisque la respiration cyclique était possible pour ne pas s’arrêter avant le fin de sa mission. Ce n’était pourtant qu’une étape intermédiaire pour comprendre la respiration polycyclique des âmes où tout était possible grâce à l’enseignement. Il ne s’agissait plus de comprendre, de sentir mais de toucher et d’être touché par la grâce. Ceci était possible dans l’acte d’amour où les âmes n’étaient pas passives dans des corps qui les avaient enfermées dans leur contour. Elles étaient capables de s’extérioriser et d’être les acteurs de cet acte sublime. Alors elles se mettaient à respirer polycycliquement avec aisance car cela leur était naturel. Elles vivaient en harmonie ce qui n’était pas spécifique et exclusif mais global. Voilà pourquoi elles pouvaient en même temps parler de tout sans s’interrompre pour vivre chaque instant en profondeur afin de créer un événement qui laissait une trace dans le Temps car elles voulaient qu’il existe et qu’il vive dans la mémoire du futur de l’Humanité.