Elle était directe et franche.
C’était ce qu’il aimait en elle.
Ils étaient très à l’aise entre eux.
Car ils n’avaient pas besoin de se cacher.
Leur compréhension mutuelle facilitait les choses.
Il n’y avait aucune complication
car il n’y avait rien de sociétal entre eux.
Ils étaient la lumière et le sacré
et cela était visible
dans l’invisible du château.
C’était aussi la raison pour laquelle elle aimait
le voir enseigner
car elle savait combien cela aidait les hommes.
Et cela ne concernait pas seulement
les habitants du village
sauf si le village était global.
Alors dans ce cas le réseau était un outil
capable de dépasser toutes les frontières
et irremplaçable
car il permettait une approche topologique
mais aussi chronostratégique.
Le château était accessible à tous
et il était là pour les protéger.
Voilà pourquoi l’amour du sacré
prenait tout son sens.
Elle comprenait son rôle
pas seulement en étudiant l’histoire
mais en voyant comment les hommes venaient
recevoir sa bénédiction.
Elle avait vu comment il était reçu
dans les monastères
et surtout ceux qui appartenaient
aux plus difficiles d’accès.