Comme par effet magique,
il entendit
Le Concerto pour Mandoline en Do Majeur
d’Antonio Vivaldi
puisque cela était possible
au sein même de la bibliothèque
du Château des âmes.
Cela semblait une exception
au prime abord
puisque aucun bruit
n’était pas permis.
Cependant comme la musique
ne pouvait être considérée
comme du bruit,
elle avait le droit
de s’exprimer librement
pour le plus grand plaisir des âmes.
Cela était toujours
d’une beauté presque insoutenable
après le coucher du soleil
au milieu d’un éclairage tamisé.