Il aimait écouter
les lieder de Schubert
mais aussi ses sonates
et bien sûr ses symphonies
dont il possédait les partitions complètes.
C’était sa manière à lui
d’entendre son ami Franz
s’épancher sur le piano
qui ne l’avait jamais quitté
tout au long de sa courte vie.
Ces précieux cadeaux
n’étaient pas seulement
des moments musicaux.
Ils ressemblaient bien plus
à des entretiens secrets
que pouvaient enfin
écouter les âmes
et s’émouvoir
avec le Château.