La mémoire collective était innée
chez Franz Schubert
et cela l’avait toujours subjugué
car c’était sans aucun effort
et nul artifice
qu’il était capable grâce à sa vie
d’enrichir sa musique
et de cacher sous son talent,
un génie humain
qui devenait accessible
grâce aux notes,
aux triolets et même aux octaves
que ses mains courtes
ne pouvaient exécuter.
Telle était la générosité
qu’il entendait dans ces compositions
et cela expliquait aussi
dans quelle profondeur
il aimait retrouver
son ami Franz.