Ce à quoi était le plus sensible
le Château des âmes,
c’était leur fluidité,
cette conséquence
de leur nature bosonique.
Elles pouvaient être partout
où elles le désiraient
et c’était cela qu’il aimait
car il ressentait
cette omniprésence.
C’était leur manière à elles
de l’aimer plus que tout
car elles vivaient
au plus profond de leur être
leur lien harmonique,
cet alliage d’essence
et de lumière
qui faisait vibrer
leurs supercordes.