Après le choix de la couleur du fond et l’ajout libre de l’essence de la nuit, il prit le monolithe pour esquisser les premiers traits qui transformèrent la surface en chair humaine qui brillait. Cependant elle attendait encore la lumière bleue posée délicatement par le pinceau trempé dans l’encre calligraphique. Il enveloppa les éléments essentiels à l’aide d’une couronne qui transcenda les obstacles pour créer cette nature vivante au-delà de toute espérance. Il créa ainsi un alliage qui dépassa les contraintes pour les interpréter comme des morceaux de beauté qui une fois ensemble devenaient une humanité discrète à la recherche d’une harmonie cachée. Une fois le tableau terminé, la technique mixte devint diversité pour mettre en avant l’essentiel en absorbant tous les détails de la nuit et créer la suite du jour après le matin du monde. Ainsi apparut le parfum du bleu.