En étant sensible à l’inacceptable, il allait de soi que son volontarisme était constant. La puissance de la volonté était sans limite car elle correspondait à un nécessité. Ce n’était pas seulement un sentiment. Il fonctionnait comme un code correcteur. Il examinait la nature dans le cadre de l’harmonie. Il ne s’agissait pas seulement d’un antagonisme entre le bien et le mal. Ce dernier était une erreur qui pouvat bien souvent être corrigée et il n’y avait pas de raison de retarder cette correction. C’était aussi un moyen de conserver une œuvre qui avait subi des dommages. Il s’agissait de réparer ce qui était réparable sans gaspiller du temps avec des choses qui ne peuvent l’être. Cependant cela ne signifie pas qu’elles doivent être oubliées. Un génocide, par exemple, ne peut être corrigé mais il existe un processus de réparation. Ce n’est pas la même chose mais c’est quelque chose qui est indispensable. Sans vouloir dire, bien sûr qu’il faudra sans cesse se poser la question de son existence. C’est un fait et le futur doit être traité à partir de ce fait sans jamais l’oublier mais sans jamais considérer qu’il s’agit d’une condition initiale.