– L’innovation dans le domaine diplomatique n’est pas esclave des conditions initiales.

– Elle est une continuité qui engendre un changement de phase et parfois même un changement de cycle.

– Si la diplomatie se trouve dans un cadre inadéquat, son action est neutralisée et son champ d’action est nul.

– Aussi au lieu d’aider l’État à mettre en place une politique étrangère, il lui fait perdre un temps précieux qui a un cout de fonctionnement mais également un impact vis-à-vis de ses interlocuteurs stratégiques.

– Les mauvais choix ont un coût et celui-ci provoque une queue dans la résolution du conflit qui engendre des problèmes qui ne se cessent pas avec la crise.