14867 - Qui d’autre pour le train ?
N. Lygeros
Traduit du Grec par A.-M. Bras
La station s’était remplie de monde. Les pièces et les pions étaient beaucoup plus à jouer une partie unique. Le Maître et les disciples se demandèrent si le train serait suffisant pour les prendre. Aussi ils ne pouvaient pas oublier le fait que aux échecs, l’échange se caractérise à partir des pions morts et des pièces et si le peuple ne le montrait pas, ils comprenaient tous que ce voyage ne serait pas comme les autres. Certains habitants portaient tous leurs biens et leur billet ne comportait pas de retour, dans la mesure où ils se demandaient si elle avait un sens. Toutefois ils le tenait dans leur main, comme jadis ils avaient acheté les coupons. Ce train était différent. C’était la seule chose de sûre pensait le disciple, sans le dire au Maître pour ne pas interrompre sa pensée au moment de l’analyse. Finalement, cela arriva par la voix du chef de gare qui avertit les voyageurs de l’arrivée du train.